Depuis 2011, elle est reconnue comme maladie par l’Organisation mondiale de la santé et est répertoriée dans les troubles addictifs du comportement au même titre que l’addiction à la drogue. Dans ce cas, le sport n’est plus un plaisir, mais un véritable besoin intensif qui fait souffrir physiquement et mentalement. Environ 15% des sportifs pratiquant plusieurs heures de sport par jour, voir plus d’une dizaine d’heures par semaine, auraient un risque d’être concernés.
Souvent, la bigorexie est liée à un traumatisme affectif (rupture, dépression, harcèlement). Les personnes atteintes de bigorexie sont souvent en manque de confiance en eux et sont à la recherche de l’idée du corps « parfait » qui est souvent mis en avant par les réseaux sociaux.
En plus du rôle de l’endorphine qui est toujours plus recherché, la bigorexie détraque tout le circuit de la récompense. Le cerveau va subir une hausse des taux de dopamine (elle favorise la motivation, l'envie de faire des projets c’est l’hormone du plaisir) et de noradrénaline (stimule l'estime de soi intervient dans les processus de mémoire et de concentration).
https://www.mcommemutuelle.com/magazine/la-bigorexie-quand-le-sport-devient-une-passion-un-peu-trop-devorante/
Attention, le titre de l'article est à mettre dans la zone de titre. Il en est de même pour les libellés. Et puis supprimez la mise en forme...
RépondreSupprimerBon comme j'ai tout modifié, je vous laisse supprimer ce qui se trouve sur la ligne avec le #